Nicolas Sarkozy


Parti politique:
Les Républicains
Mandat Principal:
Président de parti (fini en 2016)
Description:
6ème Président de la Vème République française
6ème Président de la Vème République française

Centres d'interêt

Derniers tweets

Twitter


Posté le : 31/12/22
Hommage à Sa Sainteté Benoît XVI https://t.co/tMQzNqntCd

Twitter


Posté le : 08/09/22
Communiqué de @NicolasSarkozy https://t.co/SOTyB8kMjj

Twitter


Posté le : 11/07/22
Si on aime la France, on aime le Tour de France ! https://t.co/qxz0GUvoAj

Twitter


Posté le : 11/07/22
RT @LeDL737401: @LeTour"Rien ne détrônera jamais l’Alpe d’Huez" : les confidences exclusives de l'ancien président de la République @Nicola…

Twitter


Posté le : 08/07/22
L’effroyable assassinat dont a été victime Shinzo Abe m’attriste profondément. J’ai aujourd’hui une pensée émue pou… https://t.co/kwIk28mH0c

Twitter


Posté le : 30/06/22
À demain ! https://t.co/1vqSEAteNQ

Twitter


Posté le : 22/06/22
https://t.co/cVuIoeXOaa

Twitter


Posté le : 02/06/22
RT @GuillaumeDaret: 👑 "Quand on parle à la reine, on parle à l’Histoire." 🇫🇷🇬🇧 @NicolasSarkozy a été reçu par #ElizabethII à Windsor en 200…

Dernières publications facebook

Facebook


Posté le : 06/12/17
Avec la disparition de Johnny Hallyday, la France est en deuil d’un très grand artiste, de cette voix irremplaçable qui avait séduit jusqu’aux Etats-Unis, de ce talent qu’aucune mode n’avait jamais ni surpris ni terrassé et d’un répertoire qui a pris en cinquante ans les dimensions d’une œuvre considérable. Mais ce deuil va plus loin car celui qui fut « l’idole des jeunes » à une époque où la jeunesse s’apprêtait à secouer l’ordre ancien pour donner naissance à une nouvelle société, avait fini par s’identifier à sa génération, à son époque et à au-delà à son pays. Quel Français aujourd’hui, et cela quel que soit son âge, n’est-il pas en mesure de fredonner quelques paroles de l’une de ses chansons ? Combien d’artistes, combien de chanteurs français peuvent-ils prétendre avoir à ce point marqué la vie des gens qu’ils se confondent parfois avec leur vie elle-même ? Johnny était de ceux-là et les Français, qui le savaient, ont tout vécu avec lui pour la seule raison qu’ils l’aimaient et que par son immense talent, il le leur rendait en chanson. Ce matin, je sais que dans chaque famille, dans chaque foyer de notre pays l’annonce de la disparition de ce géant de la chanson que l’on avait fini par croire éternel tant il avait si souvent trompé la mort, va provoquer une grande tristesse comme chaque fois que l’on perd un être cher. Je veux simplement dire qu’aujourd’hui j’éprouve une grande tristesse. C’est à sa femme, à ses enfants et à toute sa famille que j’adresse mes condoléances les plus attristées. Johnny va laisser un vide que personne ne pourra jamais combler. Nicolas Sarkozy ...

Facebook


Posté le : 05/12/17
Avec la mort de Jean d’Ormesson, la France perd un écrivain, l’Académie un immortel et moi, je perds un ami et un ami qui ne m’a jamais manqué. J’ai été me recueillir chez lui, dans cette maison où je suis allé si souvent déjeuner en sa compagnie et j’ai essayé de trouver les mots pour dire à sa femme et à sa fille ce que cette longue amitié a représenté pour moi. Pourtant, avant cela, je dois trouver d’autres mots pour m’adresser à tous ces Français qui en entendant l’annonce de la disparition de Jean d’Ormesson ont eu le sentiment de perdre un homme qui leur faisait honneur pour la seule raison qu’il représentait à leurs yeux ce qui exprime peut-être au plus haut point la grandeur française, je veux parler de sa littérature. Certes peut-être que parmi ces Français sincèrement émus, nombreux sont ceux qui n’ont pas lu l’œuvre de Jean d’Ormesson mais il n’en demeure pas moins que cet homme dont la conversation brillante, l’érudition souriante et le regard moqueur crevaient le petit écran incarnait la figure rassurante du grand écrivain en habit vert prêt à tirer l’épée, ou plus pacifiquement la plume, lorsque la littérature était en jeu. Les Français aimaient et respectaient Jean d’Ormesson car contrairement à d’autres il ne leur parlait pas uniquement de ses propres livres, que par pudeur il se plaisait à sous estimer, ou de ses tourments qui ne regardaient que lui mais du bonheur qu’il avait eu à traverser la vie grâce à la compagnie de tous ces auteurs dont il voulait leur transmettre le goût et en quelque sorte l’amitié à tous les Français. Il a même publié pour cela sa bibliothèque idéale qui reste, à mes yeux, le plus beau cadeau que l’on pouvait faire à des Français soucieux de partir à la rencontre de ce que l’on appelait naguère, le « génie national ». Ainsi Jean d’Ormesson ne laisse pas seulement une œuvre philosophique et romanesque publiée dans la Pléiade de son propre vivant il a aussi inlassablement célébré notre langue et tous ceux qui l’avaient un jour servie de leur génie. Avec un esprit de tolérance et une générosité sans borne cet homme qui n’hésitait pas à ferrailler sur le terrain politique ni même à porter le fer journalistique au cœur de la doxa ambiante n’a jamais hésité, par ailleurs, à défendre et même à célébrer des auteurs qui revendiquaient une vision du monde diamétralement opposée à la sienne et que tout aurait dû lui désigner comme des adversaires. C’est ainsi que fidèle à l’exemple de Voltaire volant au secours de Jean-Jacques Rousseau il a toujours clamé le génie d’Aragon alors même que le père d’Aurélien, s’était déclaré l’ennemi des Beaux Quartiers allant même jusqu’à se perdre dans la célébration de Staline ! Héritier d’une de ces vieilles familles de la noblesse de robe qui ont contribué à construire l’Etat et à le servir pendant près de cinq siècles, il aurait pu vivre à l’abri de ses préjugés de caste ou, à l’inverse, les brûler publiquement sur le bucher des vanités idéologiques mais il n’en fut jamais rien. Jean d’Ormesson était un homme libre et qui savait rester fidèle. C’est pour cela que j’ai tant aimé son amitié. Si avec Au Plaisir de Dieu Jean d’Ormesson a offert un véritable mausolée littéraire au milieu dont il était issu, il est aussi parvenu à faire plier une Académie Française alors barricadée dans ses principes pour faire entrer Marguerite Yourcenar sous la coupole et lui offrir le fauteuil qui aurait dû revenir de plein droit à George Sand ou Colette bien des années plus tôt. C’est lui, encore, qui accueillera Simone Veil trois décennies plus tard. Deux femmes qui auront incarné par leur talent, leur action et leur courage ce demi-siècle d’émancipation féminine par lequel la France a pu entrer de plain pied dans la modernité. Pourtant ce grand ami des femmes n’a pas hésité à s’insurger contre cette idée folle qui consistait à vouloir charcuter le Français sous prétexte d’égalitarisme et il aura livré son dernier combat en défendant la langue de Molière contre la revanche des Précieuses Ridicules. Ainsi pendant plus d’un demi-siècle cet aristocrate aura donc régné presque sans partage sur la République des Lettres autant que sur le cœur de ses lecteurs et de ses admirateurs. Au moment de lui dire adieu je ne peux pas m’empêcher de voir dans ce délicieux paradoxe la plus belle illustration de ce qu’il est convenu d’appeler l’esprit français et qui fait l’âme de la France. Adieu, mon cher Jean. Ici-bas, personne ne vous oubliera. Puissiez-vous continuer à être heureux… Le bonheur vous allait si bien ! Nicolas Sarkozy ...

Facebook


Posté le : 10/11/17
La culture est une réponse à la crise. Heureux d'être de nouveau au Centre Pompidou-Metz, qui fait la fierté de la ville !
PUBLICITÉ

Historique


Date
Faits

2016
Candidat à Primaires de la droite et du centre (Premier tour) pour Les Républicains
2015
Président de parti (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 2015 à 2016
2014
Président de parti (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 2014 à 2015
2007
Président de la République (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 2007 à 2012
2005
Ministre (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 2005 à 2007
2005
Député (Hauts-de-Seine, Île-de-France, France) de 2005 à 2005
2004
Président de parti (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 2004 à 2007
2004
Président conseil départemental (Hauts-de-Seine, Île-de-France, France) de 2004 à 2007
2004
Ministre (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 2004 à 2004
2002
Député (Hauts-de-Seine, Île-de-France, France) de 2002 à 2002
2002
Ministre (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 2002 à 2004
1995
Député (Hauts-de-Seine, Île-de-France, France) de 1995 à 2002
1993
Ministre (Paris, Paris, Île-de-France, France) de 1993 à 1995
1988
Député (Hauts-de-Seine, Île-de-France, France) de 1988 à 1993
1983
Maire (Neuilly-sur-Seine, Hauts-de-Seine, Île-de-France, France) de 1983 à 2002